Jean-Christophe Blumhardt et son fils

Jean-Christophe Blumhardt et son fils est une petite monographie d’Edmond Grin sur les Blumhardt père et fils, sortie en 1952. On y trouve les biographies de ces deux pasteurs atypiques qui ont inspiré aussi bien la théologie dialectique que le socialisme religieux.

Edmond Grin, Jean-Christophe Blumhardt et son fils : Guérison des âmes, guérison des corps, préface de Paul Tournier, Genève : Labor et Fides, collection Les Vainqueurs, 1952, 220 pages

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Plus de la moitié du livre est consacré au père, Jean-Christophe (Johann Christoph) : on le suit dans sa jeunesse, puis dans sa lutte pour délivrer une jeune femme (Gottliebin) victime d’une « possession démoniaque » lors de son ministère pastoral à Möttliegen. Cet événement est un tournant majeur dans sa vie et aura une influence durable sur lui. Car cette « possession » ne le fait pas sombrer dans une quelconque « démonologie », mais lui permet au contraire d’acquérir la certitude déterminante que « Jésus Christ est vainqueur ! ». Devenu très populaire, il fonde ensuite à Bad Boll une sorte de pension qui accueille des malades souhaitant effectuer des retraites spirituelles pour se remettre d’aplomb. Cette maison prend à bien des égards des airs de véritable petite communauté religieuse.

Nous proposons la partie consacrée au fils, Christophe Friedrich, qui est l’initiateur du socialisme religieux et une des inspirations de la future théologie dialectique, ainsi que la conclusion de l’ouvrage.

Table des matières

Première partie :
Jean-Christophe Blumhardt,
guérisseur chrétien malgré lui (1805-1880)

Deuxième partie :
Christophe Blumhardt fils,
prophète des temps nouveaux (1842-1919)